
Le blog de Clara Delcroix
Fernando Cortés de Monroy Pizarro Altamirano, aussi nommé Hernando Cortés, est probablement né en 1485, à Medellín, en Estrémadure, en Espagne. Il est mort à Castilleja de la Cuesta (près de Séville) le 2 décembre 1547. Cortez a vécu 62 ans, ce qui est un âge raisonnable pour cette époque. C’est ce conquistador espagnol qui a envahi le Mexique.
Il fit un voyage vers le Mexique de 1518 à 1519. Pour ce faire, son point de départ fut La Havane, à Cuba. Lorsqu’il eut atteint Cozumel, il a longé la côte du Yucatán, puis il est arrivé dans le golfe du Mexique. Il fit étape dans diverses villes : Vera Cruz, Jalapa, Xocotlan et Cholula. Son voyage se termina à l’actuel Mexico : Tenochtitlan. Il est alors muni de 570 hommes, 11 chevaux et 10 canons.
Bernal Díaz est l’un de ses compagnons de route. À Tenochtitlan, l’immense quantitité de personnes et de marchandises le rendent admiratif. Sur le marché on vend diverses choses : or, argent, esclaves, pierres précieuses, plumes, étoffes (par exemple en coton), broderies, cacao, poteries, et bien plus encore.
L’empire aztèque est dirigé par un empereur : Moctezuma. Les espagnols haïssent la religion aztèque. Ils disent, par exemple, que l’empereur aztèque sortit d’un oratoire où se trouvaient ses maudites idoles (d’après Histoire véridique de la conquête de la Nouvelle-Espagne de Bernal Díaz del Castillo).
Les indiens craignent les Espagnols, car « des bêtes farouches leur obéissent » (des grands cerfs qu’ils ont apprivoisés), « ils tiennent la foudre dans leurs mains » (des arquebuse) et ils sont assoiffés d’or que la terre des indiens produit : ils sont considérés comme des dieux.
J’ai voulu faire un tableau de nœuds et je me suis dit que je pourrais en faire une rubrique dans ce blog.
Un nœud est un entrelacement étroit que l’on obtient soit en croisant les bouts d’une corde, d’une ficelle, etc, puis en tirant sur celle-ci, soit en liant une corde à une ou plusieurs autres.
Il existe plusieurs sortes de nœuds : les nœuds d’arrêt (pour empêcher un nœud à une ficelle de se défaire), les nœuds d’amarrage (qui servent à attacher quelque chose avec un cordage), les nœuds de pêche (ils servent à attacher, par exemple l’hameçon à la ligne)…
Selon la légende, Gordias, fils de Midas, était un pauvre paysan devenu roi de Phrygie (Asie mineure). Il avait inventer un nœud, pour lier le joug de ses bœufs, fait avec une technique tellement mystérieuse que nul ne savait ou commençait, ni ne finissait la corde, ni par conséquent dénouer le nœud.
Jusqu’au jour ou Alexandre le grand , roi de Macédoine, arriva. Il examina le problème et il trouva enfin SA solution : trancher net le nœud d’un coup d’épée bien ajusté.
Il a vécu 95 ans et a eu différente activités : professeur, homme politique et écrivain.
Le conseil municipal de Givors (Rhône) a créé une rue nommée « Aimé Césaire » en juin 2008.
La poste française a créé un timbre avec sa photo édité le 21 avril 2009.
La ville de Fort-de-France, en Martinique, a mis une affiche sur la façade de la mairie en avril 2008, après le décès de Aimé Césaire.
Toutes ces personnes rendent hommage à Aimé Césaire car, il a mené des actions pour le bien de tous.
Aimé Césaire affirme appartenir à la “communauté” nègre.
Il dénonce diverses violences contre elle :
La conscience et la fierté d’être noir, la revendication par tous les noirs de leur origine africaine, sursaut de dignité, refus de l’oppression et combat contre l’inégalité sont les mots et expressions qui définissent la négritude.
La négritude est un combat légitime car tout homme à le droit à sa dignité quelque soit sa couleur de peau et sa culture. Ce n’est pas seulement le combat des noirs, mais de tout le monde.
Aimé Césaire est issu d’une famille bourgeoise descendant d’esclave. Il est né en Martinique. Il a eu diverses professions :
La négritude, pour Aimé Césaire est la revendication de l’identité noire et de sa culture.
Bonne année et bonne santé 2012 à vous tous.
Halloween est une fête folklorique que l’on célébre principalement en Irlande, au Canada, en Australie, au Royaume-Uni et États-Unis. Elle dure normalement du 31 octobre jusqu’au 1er novembre. On le célèbre le plus souvent en organisant une collecte de bonbon. Quelque fois, pour cette occasion, on créé une « Jack-o’-lantern » qui n’est en fait que la citrouille emblématique d’Halloween.
Joyeux halloween à tous !
Au moyen-âge les goûts sont acidulés. les sauces sont acides et on utilise les épices en grande quantité. Cette cuisine est grasse. L’aspect visuel y est très important : elle est colorée.
Les paysans mangeait tous les jours des légumes, mais rarement de la viande.
Au moyen-âge, les légumes que l’on mangeait sont :
Vers la fin du Moyen-âge, on mangeait également des cardons et de l’aubergine blanche.
Par contre, on ne mangeait pas de courges, ni de potirons, ni de pomme de terre, ni de maïs. Ils furent découvert ou importés plus tard.
Les fruits sont appréciés principalement des riches.
Choux, épinards, poireaux, haricots, oignons, pois… servent à préparer soupes et purées.
Les paysans ne mangent quasiment jamais de viandes.
Les riches mangent plutôt les animaux chassés comme les cerfs, les sanglier ou les faisans
Chez les plus riches, on ne sert pas un banal poulet rôti dans sa peau dorée, mais plutôt un paon, un cygne ou un héron que l’on présente dans son plumage (non plumé) : on a l’impression qu’ils sont encore vivants ! Par exemple, un cerf est farci d’un cochon, lui même farci de faisans.
À l’époque, les gens mange très souvent du poisson, environ 100 jours par an !
Voici d’où les animaux de l’image ont pris :
le faisan,
le cochon et
le cerf.
Le pain est à l’époque médiévale la base de l’alimentation pour les pauvres, notamment les paysans. Les riches s’en servaient aussi parfois comme “assiette”, serviette ou tranchoir (voir plus loin). L’assiette se résumait souvent à un creux dans la table !
Le pain ne se fabriquait qu’avec des céréales panifiable (ce sont celles qui ont le pouvoir
de faire gonfler la pâte, de la faire fermenter).
Au moyen-âge, 6 céréales étaient principalement utilisées :
Par contre, en temps de troubles ou de disette (manque de nourriture), il n’était pas rare que l’on mélange à la farine des écorces pilées ou même de l’argile.
Les sauces sont très importante. Elles sont acide et servent à masquer le goût des produits avariés (pas de réfrigérateur, ni de conserves, ni de congélateurs, bref, peu de moyen de conservation).
La cameline (pour le poisson) et la sauce à l’ail (pour la viande) sont deux exemples de sauces du moyen-âge.
C’est un jus extrait de raisin blanc non mûri.
Il remplace :
Il sert pour le déglaçage (récupération des sucs de cuisson) des plats pour faire la base des sauces.
Au moyen-âge, les épices étaient principalement utilisé par les riches. Ils pouvaient assaisoner les plats avec :
Menthe, sauge, persil, sarriette, oseille sont certaines des herbes aromatiques que l’on mangeait.
Lys, rose, bourrache et glaïeul sont des exemples de fleurs que l’on dégustait à l’époque(comme aujourd’hui d’ailleurs).
Il sert à fabriquer du beurre et du fromage, car les médecins du moyen-âge pensent qu’il est mauvais pour la santé.
Au moyen-âge, on mange avec les doigts (les trois premiers doigts sont utilisés chez les nobles). Pour les couverts, cuillères et couteaux existaient mais pas encore les fourchettes.
Il n’y a qu’une seule coupe pour deux personnes et parfois une “assiette” pour deux. Mais, les milieux plus pauvre emploie un pichet ou une coupe que la tablée partage à tour de rôle.
Chez les grands seigneurs, en Europe, le vin se buvait dans des vases d’or incrustés de pierres précieuses : on les appelait hanaps.
L’écuelle que l’on se partageait à deux était en argent.
Le nef de table est un ornement en or ou en argent en forme de bateau où le seigneur range sa serviette personnelle (les autres personnes s’essuient la bouche avec la nappe ou leurs manches)
L’habitude fut prise de mettre entre deux personnes une tranche épaisse de pain rassis (dur) qui s’appelle tranchoir. Elle servait a déposer les aliments et/ou à recueillir la sauce, car il est absorbant. À la fin du repas, le tranchoir était partagé entre les deux convives ou donné aux chiens ou aux pauvres qui s’en régalaient.
On y coupait aussi des tranches d’où son nom : tranchoir.
Dans les auberges, on utilisait déjà le pain comme casse-croûte. Les plus pauvres (les paysans) trempait des bouts de pain dans leur bouillon, on appelait ces morceaux : des soupes.
Les jour de fête, chez les moines, on mange :
C’est trois fois la dose dont à besoin l’organisme.
St Benoit, un moine italien du VIe siècle a essayé d’instaurer les “bonnes manières” que voici :
Comme la grande salle (la salle à manger des château) est loin des cuisines, les plats arrivent souvent froids.
Les tonneaux de vins sont dans l’entrepôt des châteaux, ainsi que d’énormes quartiers de viande et des bottes de légumes suspendus au plafond.
Au moyen-âge, après chaque mets, lors des receptions, il y a un “entremets” exécuté ou chanté par les troubadours qui peuvent être des :
Les bouffons qui sont les seuls qui peuvent se moquer des seigneurs et du clergé, racontent des histoires drôles, parfois grossières, lors de ces soirées.
Avez-vous bien tout compris ?
Pour le savoir, tester vos connaissances sur la cuisine médiévale grâce à un questionnaire accompagné de ses réponses !
Voici le questionnaire sur la cuisine médiévale.
1 ) Les goûts dans la cuisine médiévale sont…
2 ) Les paysans mangeait…
3 ) Les fruits sont appréciés principalement…
4 ) Les riches mangent plutôt…
5 ) Les gens mangent très souvent du poisson, environ…
6 ) Le pain est…
7 ) Une céréale panifiable…
8 ) Le verjus remplace…
9 ) Les médecins pensaient que le lait…
10 ) Dans un château, la grande salle…
11 ) Mon premier est le verbe “avoir” à la 3ème personne du singulier, au présent.
Mon second est un synonyme de pierre.
Mon troisième est une couleur.
Mon tout est un “légume feuille” composé de deux mots que l’on dégustait au Moyen-âge.
12 ) Mon premier est une syllabe que l’on retrouve dans les verbes savourer et saler.
Mon second est un petit mammifére.
Si vous enlevez un “o” à soin, vous obtenez mon troisième.
Mon tout est une céréale qui servait à fabriquer les pains au Moyen-âge.
13 ) Mon premier est un poisson plat.
Mon second est le contraire de faible.
Mon tout est une épices que l’on mangeait au Moyen-âge, mais qui est encore utilisé aujourd’hui.
14 ) Mon premier est un synonyme de “papa”.
Mon second est en dessous des sourcils.
Mon tout est une herbe que l’on utilisait au Moyen-âge, mais que l’on mange encore de nos jours.
15 ) Mon premier est un synonyme de rondelle. Il peut-être de pain.
Mon second on le retrouve dans les mots bouilloire et soir.
Mon tout est un objet servant a déposer les aliments et/ou à recueillir la sauce
16 ) Les jour de fête, je mange 2 kilos de pain, 300 grammes de légumes secs, 110 grammes de fromages, 2 volailles, 3 litres de vin. Qui suis-je ?
17 ) Je suis un moine Italien du VIe siècle qui a essayé d’instaurer les bonnes manières. Qui suis-je ?
18 ) Je peut être jongleur, dresseur d’ours, mime, acrobate, conteur ou musicien. Qui suis-je ?
19 ) Je suis un musiciens de l’époque et je joue de la trompette, du luth, de la harpe, du tambour, de la vièle, du tambourin, du psaltérion, de la flûte ou du rebec. Qui suis-je ?
20 ) Je suis le seul qui peut se moquer des seigneurs et du clergé. Je raconte des histoires drôles, parfois grossières, lors des réceptions. Qui suis-je ?
21 ) Les syllabes de cinq légumes se sont mélangées. Essayez de reconstituer les légumes.
Poivet, pareaux, ronais, nagnon, oiquette.
22 ) Parmi ces légumes, lesquels existaient au Moyen-âge en France ?
Pomme de terre, maïs, choux, potirons, épinards.
23 ) Quel couvert n’utilisait-on pas au Moyen-âge : le couteau, la fourchette ou la cuillère.
24 ) Citez une sauce médiévale.
25 ) Qu’est ce que le verjus ?
Vous trouverez les réponses à ce questionnaire ici.
Voici les réponses au questionnaire de l’exposé sur la cuisine médiévale.
1 ) Les goûts dans la cuisine médiévale sont acidulés.
2 ) Les paysans mangeait tous les jours des légumes, rarement de la viande.
3 ) Les fruits sont appréciés principalement des riches.
4 ) Les riches mangent plutôt les animaux chassés.
5 ) Les gens mangent très souvent du poisson, environ 100 jours par an.
6 ) Le pain est l’aliment principal, mais il est aussi utilisé parfois comme assiette.
7 ) Une céréale panifiable fais gonfler la pâte.
8 ) Le verjus remplace le jus de citron, le vinaigre ou la moutarde.
9) Les médecins pensaient que le lait est mauvais pour la santé.
10 ) Dans un château, la grande salle désigne la salle à manger : elle est loin des cuisines.
11 ) L’arroche rouge (a roche rouge).
12 ) Le sarrasin (sa rat sin).
13 ) Le raifort (raie fort).
14 ) Le persil (père cil).
15 ) Le tranchoir (tranche oir).
16 ) Le moine.
17 ) St Benoit.
18 ) Le troubadour.
19 ) Le ménestrel.
20 ) Le bouffon.
21 ) Poireaux, panais, roquette, navet et oignon.
22 ) Choux et épinards.
23 ) La fourchette.
24 ) La cameline ou la sauce à l’ail.
25 ) C’est un jus extrait de raisin blanc non mûri.
Comme je cherchais des correspondants allemands, je me suis inscrite à deux sites de correspondance en ligne :