Cela fait déjà un bout de temps que l’on prévoit ma sœur et moi d’écrire un livre de cuisine : La cuisine pour des enfants par des enfants, désormais il est fin prêt. Ce livre, qui aura un format carré, sera disponible en version e-pub ou papier (avec une couverture souple). De ce fait, les jeunes y auront accès sur leurs smartphones ou tablettes et les parents ou grands-parents habitués aux livres papiers pourront aussi en acheter. Jusqu’au 1er septembre, la version papier est disponible en pré-vente au prix de 12€50 (après cette date, il coûtera 14€99). La version e-pub, quand a elle, est disponible à 3€99 au lieu de 4€99. Les frais d’expedition de la version papier sont de 2€10. Pour plus d’informations cliquez ici.
C’est l’histoire d’une dizaine de bébés huîtres. Elles vivaient dans la mer, sur un monticule de sable.
Un jour, elles virent quelqu’un arriver. Elles furent tout étonnées, car ce n’était pas souvent qu’elles avaient de la visite. Le visiteur était un morse, mais pas n’importe quel morse : c’était le morse le plus rusé de la mer. Le morse se fit passer pour leur oncle. Alors, elles s’écrièrent toutes en cœur « Tonton Morse !!! », et le morse, pour les impressionner, leur dit qu’il savait même jouer de la musique avec sa canne. Il leur fit une démonstration sur leur demande.
Cette musique les charma, et elles suivirent le morse jusque dans un restaurant. Le morse leur offrit à manger, mais avant que le serveur n’arrive pour les servir, il se jeta sur les bébés huîtres et les mangea.
Morale : Il ne faut pas toujours faire confiance aux autres, des fois, cela nous porte malheur.
Avec le collège, un mercredi, nous sommes partis en bus au cross départemental.
Lorsque nous sommes arrivés, nous nous sommes installés dans les gradins du stade. Nous y avons pique-niqué diverses choses : salades, sandwich… Et, nous avons aussi bu.
Ensuite, je suis allée m’échauffer, puis je suis allée dans la chambre d’appel, pour le cross des filles nées en 1999-2000. De là, un monsieur nous a conduites au départ où nous avons continué à nous échauffer quelques instants.
Au coup de pistolet, la course a commencé. J’ai couru longtemps. Au premier tour du parcours, j’ai cru que le cross était terminé. En fait, il fallait faire un second tour. J’ai donc continué à courir.
Des personnes sur les bords de la piste m’encourageaient. À un moment, j’ai vu enfin l’arrivée. Je suis passée entre deux barrières et j’ai donné mon dossard, à une dame qui l’a planté sur une tige pointue. Je suis arrivée onzième sur une centaine.
À la fin de la course, un monsieur m’a donné une barre de céréales et un jus de fruit. Ma mère et ma sœur sont venues me féliciter, puis nous sommes rentrées à la maison.
Au Moyen-âge, un seigneur adoré de ses serfs voulait une mascotte. Il demanda à un moine qu’il adorait, et qui était d’ailleurs un peu fou, de lui en créer une. Le moine créa une fée. Cette fée était petite, plutôt excentrique (comme le moine), elle avait quatre ailes, une robe rouge et une baguette magique bleue.
Lorsque le moine l’amena au seigneur, elle était énormément excentrique. Le seigneur la prit et la jeta dans le feu. Après avoir traversé d’énormes flammes et des litres d’eau chaude, elle se retrouva au XXIe siècle, dans le radiateur de ma chambre (je ne le savais pas avant mon aventure), où elle trouva une petite plante.
Ma chambre était moyennement grande, elle comportait un lit « bateau », une armoire, une toile avec un bateau, une bibliothèque, un coffre à jouets, ma collection de stylos et un tapis. Elle était humide, mais il y faisait bon vivre, car il y avait un radiateur. Un jour, alors que je jouai dans l’après-midi, j’entendis le radiateur goutter. J’ai appelé mes parents pour les prévenir. Ils appelèrent le plombier. Lorsque je me suis retourné, je restai ébahi, les yeux écarquillés : une petite fée se trouvait devant moi. Elle me parla d’une voix poétique :
« Bonjour Clara, les plus grands m’appellent la fée du radiateur et les plus petits, eux, m’appellent la fée du rateur : ils ne savent pas dire radiateur. Oh ! J’ai soif et faim, pourrais-tu m’apporter à manger et à boire ?
-J’y vais de ce pas ! »
Je lui ai apporté à manger et à boire. Pour me remercier, elle me donna un « don ». C’était d’ouvrir une porte ou un tiroir de mon armoire, je choisis le tiroir des chaussettes : je n’avais pas entendu ce qu’elle m’avait dit, et comme j’avais une chaussette trouée… Et là, que vois-je ! Des diamants, des perles, de l’or… Tout à coup, j’entendis un bruit de pas : le plombier arrivait pour réparer le radiateur. Il répara le radiateur. Et, lorsque je me suis retourné, la fée avait disparu…