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J’ai profité de me trouver à Beuvry pour essayer de voir le manoir de l’Estracelle qui est un musée de l’agriculture. La route pour s’y rendre est fléchée jusqu’à un certain point, puis après plus rien. De plus, les gens ne connaissent pas ce musée et donc ne savent pas où il se trouve. La visite est ainsi très difficile.
De là, je suis reparti dans le bassin minier (comme si j’en étais sorti. Mais la différence est-elle si importante ?).
Courrière est célèbre par la catastrophe de 1906.
De là, j’ai rejoint Seclin où la collégiale Saint-Piat (crypte, salle capitulaire, carillon de quarante-deux cloches…) est très difficile à visiter. Il faut montrer patte blanche au presbytère. Cela au grand désespoir de la population qui aimerait faire connaître davantage cet édifice à en croire un couvreur qui passait par là. La crypte et la salle capitulaire restent toujours fermées. Reste à aller voir le vieil hôpital.
Ensuite, je suis monté sur le mont Pévèle. Attiche, Mons-en-Pevele (panorama sur le bassin minier), Orchies (célèbre par sa chicorée. Un musée est actuellement mis en place), Templeuve (église) puis ce fut le retour à Seclin.
Destination finale, Lille, en traversant une partie de l’agglomération lilloise.
Plus exactement, je me rendais à Marcq-en-Barœul, où je resterai à loger chez des amis, jusque la fin de mon expédition.
Un comportement assez fréquent des gens du Nord, le soir de mon arrivée, nous étions invités à manger chez d’autres amis dans la région.