Nous avons quitté la région des champs de lavande (nous n’avons pas vu en réalité) pour les champs d’oliviers et de tomates. Il est vrai que pendant le voyage d’aujourd’hui nous quittons le climat méditerranéen pour le climat océanique. Le climat montagnard n’étant pas loin : dans les Pyrénées que nous apercevons au cours du chemin après avoir longé le Massif Central.
Un mur peint de Narbonne évoque Charles Trenet, natif de la ville.
Déjà à Arles, les férias étaient évoquées, elles le sont de nouveaux dans la région. Des férias sont des fêtes locales annuelles caractérisées par des corridas.
Nous sommes sur la route du Cassoulet : Castelnaudary, Toulouse… mais la région est également celle du foie gras.
Signe particulier dans les villages, les volets des maisons sont fermés à cause de la chaleur.
Par-ci, par-là, depuis notre départ de Lille, nous découvrons un moulin à vent comme aujourd’hui. Un moulin comme ceux de Tartarin de Tarascon.
Les briques réapparaissent dans les constructions des maisons avant d’arriver dans la ville Rose : Toulouse.
Toulouse doit sa fortune au pastel. Ce n’est pas le pastel sous forme de bâton que l’on connaît pour les coloriages. Le pastel est une plante qui était cultivé à Toulouse et qui donnait une teinture bleue pour les vêtements ! Désormais, on trouve des savons, des shampoings, etc. au pastel.