Il y avait aussi une mare.
Une rumeur disais que quiconque y entrerait n’en ressortirait pas…
On pouvait imaginé se faire avaler tout cru par la bête, succomber à la chaleur, tomber dans la mare, être emporté par le vent, pourtant léger…
(à suivre)

Le blog de Clara Delcroix
Rédactions, exposés et autres… Bref, les travaux pour l’école, le collège ou le lycée.
Il y avait aussi une mare.
Une rumeur disais que quiconque y entrerait n’en ressortirait pas…
On pouvait imaginé se faire avaler tout cru par la bête, succomber à la chaleur, tomber dans la mare, être emporté par le vent, pourtant léger…
(à suivre)
Vous connaissez sûrement Le Lièvre et la Tortue de Jean de la Fontaine. J’ai inventé les discussions que le lièvre et la tortue auraient pu avoir avant et après leur course. Les voici :
Avant la course, le lièvre dit à la tortue :
« Bonjour, madame la tortue, alors prête pour cette course ?
– Bien sûr que je suis prête. Je crois que la course va commencer, il faut se mettre en place. Bonne chance, et que le meilleur gagne. lui répondit le reptile à carapaces.
– Ne vous faites pas de soucis, à la vitesse où vous aller, j’aurais tout le temps de gagner, moi, je vais à la vitesse de l’éclair. répliqua le mammifère à la queue en pompon.
– Ça, c’est ce que vous dites, mais vous savez une expression dit « lentement mais sûrement », et bien, je vais aller lentement mais sûrement. dit notre tortue pour clore ce dialogue.
À la fin de la course, la tortue voyant que le lièvre avait besoin d’être réconforté, lui dit :
« Ne t’en fais pas gros malin, tu vois, tu m’as sous-estimé,
et tu t’es surestimé, c’est pour cela que tu as perdu la course, mais bon, tu en gagneras d’autres !
-C’est vrai ce que tu dis là ? Tu le penses vraiment ? lui répondit le rongeur
-Mais bien sûr, sinon, pourquoi le dirais-je ? jaspina notre amie.
-C’est vrai, je n’y avais pas pensé. En fait, tu es une vraie amie. Tu n’as qu’à venir chez moi pour fêter ta victoire ! dit notre compagnon aux longues oreilles pour achever ce discours.
L’archipel des Tuamotu se situe au sud de la planète dans l’océan Pacifique, entre l’équateur et le tropique du Capricorne.
Cet archipel est un ensemble de 78 atolls. Un atoll est une île basse dont le centre est occupé par un lagon(une étendue d’eau peu profonde).
Sa localisation
À l’échelle mondiale, l’archipel des Tuamotu se situe
Par rapport à des villes il se situe
Le climat
Le climat est chaud et humide toute l’année, c’est donc un climat équatorial.
Petit poème dont la dernière rime est différente des autres pour bien marqué la fin :
Et le chat
Dans le plat
De rutabaga*
Téléphona à
Un pauvre rat
Il l’invita
Puis le mangea
Et il tomba
Très malade
rutabaga* : chou-navet
Les mots marqués * sont dans le lexique.
L’avarice perd tout en voulant tout gagner, cette fable vous le démontre :
Monsieur Dujambon, un cochon quelque peu stupide, vit monsieur Dufleuve (un hippopotame) descendre de sa décapotable et avancer vers sa soue*. « L’hippo » lui dit :
« Vous m’avez l’air bien stupide ! Enfin, je suis un homme d’affaires et je viens vous vendre des produits.
-Peu importe si je suis stupide, vous, vous êtes avare ! »lui répondit le porc.
L’hippopotame qui parlait au téléphone, sursauta en entendant qu’il était avare. Il fit tomber son téléphone dans de la boue, et insulta son client de tous les noms d’oiseaux. Une fois l’homme d’affaire ressaisi, le cochon demanda :
« Au fait, vous avez sûrement un IPad* ?
-Bien sûr que oui ! affirma notre compagnon gris.
-J’aimerais tant le tester ! jaspina le verrat*.
-Soit, mais prenez en grand soin ! » répliqua le cheval du fleuve* pour conclure ce dialogue.
Le goret* testa l’ordinateur tactile, mais comme il avait les pattes pleines de boue, il l’encrassa.
L’hippopotame partit en grommelant :
« Vous m’avez fait perdre tous mes produits, je voulais juste vous les vendre et gagner de l’argent. »
Un petit Lexique pour mieux comprendre
soue : étable pour cochon, porcherie
verrat, goret : cochon
Ipad : ordinateur tactile
cheval du fleuve : hippopotame, du grec hippopotamos (hippos : cheval et potamos : fleuve).
Il n’y a pas de ponctuation dans le « poème » qui compose l’araignée.
Le texte est le suivant :
L’araignée
arachnide huit pattes deux gros yeux l’araignée elle tisse sa toile au bout d’un fil suspendue dans les airs une fois sa toile fini les animaux qui osent s’y aventurer sont pris au piège et se font finalement mangé par l’araignée et puis finalement elle vous a vu elle s’avance vers vous sympa pour certain méchante pour d’autre personne
C’est l’histoire d’une dizaine de bébés huîtres. Elles vivaient dans la mer, sur un monticule de sable.
Un jour, elles virent quelqu’un arriver. Elles furent tout étonnées, car ce n’était pas souvent qu’elles avaient de la visite. Le visiteur était un morse, mais pas n’importe quel morse : c’était le morse le plus rusé de la mer. Le morse se fit passer pour leur oncle. Alors, elles s’écrièrent toutes en cœur « Tonton Morse !!! », et le morse, pour les impressionner, leur dit qu’il savait même jouer de la musique avec sa canne. Il leur fit une démonstration sur leur demande.
Cette musique les charma, et elles suivirent le morse jusque dans un restaurant. Le morse leur offrit à manger, mais avant que le serveur n’arrive pour les servir, il se jeta sur les bébés huîtres et les mangea.
Morale : Il ne faut pas toujours faire confiance aux autres, des fois, cela nous porte malheur.
Avec le collège, un mercredi, nous sommes partis en bus au cross départemental.
Lorsque nous sommes arrivés, nous nous sommes installés dans les gradins du stade. Nous y avons pique-niqué diverses choses : salades, sandwich… Et, nous avons aussi bu.
Ensuite, je suis allée m’échauffer, puis je suis allée dans la chambre d’appel, pour le cross des filles nées en 1999-2000. De là, un monsieur nous a conduites au départ où nous avons continué à nous échauffer quelques instants.
Au coup de pistolet, la course a commencé. J’ai couru longtemps. Au premier tour du parcours, j’ai cru que le cross était terminé. En fait, il fallait faire un second tour. J’ai donc continué à courir.
Des personnes sur les bords de la piste m’encourageaient. À un moment, j’ai vu enfin l’arrivée. Je suis passée entre deux barrières et j’ai donné mon dossard, à une dame qui l’a planté sur une tige pointue. Je suis arrivée onzième sur une centaine.
À la fin de la course, un monsieur m’a donné une barre de céréales et un jus de fruit. Ma mère et ma sœur sont venues me féliciter, puis nous sommes rentrées à la maison.
Au Moyen-âge, un seigneur adoré de ses serfs voulait une mascotte. Il demanda à un moine qu’il adorait, et qui était d’ailleurs un peu fou, de lui en créer une. Le moine créa une fée. Cette fée était petite, plutôt excentrique (comme le moine), elle avait quatre ailes, une robe rouge et une baguette magique bleue.
Lorsque le moine l’amena au seigneur, elle était énormément excentrique. Le seigneur la prit et la jeta dans le feu. Après avoir traversé d’énormes flammes et des litres d’eau chaude, elle se retrouva au XXIe siècle, dans le radiateur de ma chambre (je ne le savais pas avant mon aventure), où elle trouva une petite plante.
Ma chambre était moyennement grande, elle comportait un lit « bateau », une armoire, une toile avec un bateau, une bibliothèque, un coffre à jouets, ma collection de stylos et un tapis. Elle était humide, mais il y faisait bon vivre, car il y avait un radiateur. Un jour, alors que je jouai dans l’après-midi, j’entendis le radiateur goutter. J’ai appelé mes parents pour les prévenir. Ils appelèrent le plombier. Lorsque je me suis retourné, je restai ébahi, les yeux écarquillés : une petite fée se trouvait devant moi. Elle me parla d’une voix poétique :
« Bonjour Clara, les plus grands m’appellent la fée du radiateur et les plus petits, eux, m’appellent la fée du rateur : ils ne savent pas dire radiateur. Oh ! J’ai soif et faim, pourrais-tu m’apporter à manger et à boire ?
-J’y vais de ce pas ! »
Je lui ai apporté à manger et à boire. Pour me remercier, elle me donna un « don ». C’était d’ouvrir une porte ou un tiroir de mon armoire, je choisis le tiroir des chaussettes : je n’avais pas entendu ce qu’elle m’avait dit, et comme j’avais une chaussette trouée… Et là, que vois-je ! Des diamants, des perles, de l’or… Tout à coup, j’entendis un bruit de pas : le plombier arrivait pour réparer le radiateur. Il répara le radiateur. Et, lorsque je me suis retourné, la fée avait disparu…
Le 20 juillet 2009, cela fera 40 ans que nous sommes allés sur la lune. Le 20 juillet 1969, au cours de la mission Apollo 11, trois hommes ont été sur la lune :
Neil Armstrong et Edwin Aldrin ont marché sur la lune, tandis que Michael Collins reste dans la fusée Saturne V.
Quand Neil Armstrong touche le sol lunaire, il dit cette phrase désormais célèbre : « C’est un petit pas pour l’homme, un bond de géant pour l’humanité » pour les premiers pas de l’homme sur la lune. Edwin Aldrin le rejoint, car Neil Armstrong est descendu en premier du LEM (le Module Lunaire). Aldrin plante un drapeau américain sur la lune.
Au cours de leur séjour lunaire, les astronautes ramassent 21 kilos de pierre sur la lune, installent des appareils scientifiques et… retournent tranquillement dans la fusée pour regagner la terre, même si Aldrin après avoir cassé le bouton qui doit faire décoller le LEM de la lune, utilise un stylo pour remplacer le bouton.