Tentative d’homicide dans le train

C’était le printemps. Deux personnes marchaient dans un champ, à la campagne, dans une petite commune près de Châlon sur Sâone. Leur voiture, une coccinelle rouge, était garée plus loin. Ils discutaient :
« C’est au beau milieu de la nature ce meurtre.
-Non, c’est sur la ligne du train Paris-Marseille. Et puis d’ailleurs, ce n’est pas un meurtre…
-Quoi ?! s’est exclamé le commissaire Warn
-Oui, le train s’est arrêté avant de tuer mon père, M. Moutin, qui est tombé sur les rails. lui a répondu Mlle Moutin
-Comment votre père a-t-il fait pour tomber sur les rails ? lui a t-il demandé
-Il s’était endormi et la portière s’est ouverte, mais allons interroger le conducteur du train, il nous en dira plus. » a t-elle répliqué

Le commissaire et détective Xavier Warn était un ancien militaire. Il avait revétit un jean et une chemise à carreaux. Par dessus, il avait mis un manteau beige et avait aussi mis des lunettes. C’était un homme sympathique d’une quarantaine d’années, qui fumait la pipe et surtout, qui avait de expérience dans ce métier de commissaire Dés qu’on le voyait, on le reconnaissait : des yeux marron-verts, une moustache, un bouc, peu de cheveux gris et des sourcils épais le caractérisait. Il n’était plus marié, mais il avait une fille : Claire.

Son associée était une jeune fille de dix-neuf ans qui se prénommait Lisa Moutin. Elle avait des yeux bleu-gris-vert et des longs cheveux châtains clair détaché. Elle s’était habillé avec une jupe rouge et un corsage blanc et avait mis ses lunettes de soleil. Elle n’était pas marié, mais elle avait un petit copain : Zahran Baambo. C’était un africain à la tête rasé. Il a un gros nez, des grosses lèvres, des grandes oreilles et des yeux noirs. Cet informatien était souvent en survêtement, avec un sweat-shirt à capuche et des baskets. Il avait l’accent antillais.

Mlle Moutin et M.Warn étaient arrivé sur les lieux du crime. Ils virent le conducteur du train : un homme pas très vieux qui avait un visage pointu. Il était maigre et avait le visage et les mains noircis. Son bleu de travail et sa casquette étaient sales. M. Warn l’interrogea tandis que Mlle Moutin notait tout ce qu’ils disaient :
« Quel est votre nom ? lui demanda le commissaire
-Je m’appelle Jean Leblanc. lui répondit-il
-Bien. Qu’est-ce qu’il s’est passé ? répliqua l’enquêteur
-La portière s’est ouverte et M. Moutin est tombé sur les rails. Il dormait en étant appuyé sur cette porte. Heureseument que je m’étais arrêté ! rétorqua Jean
-Intéressant, pourquoi vous-êtes vous arrêté ? Riposta Xavier
-Le moteur prenait feu. assura M.Leblanc
-Qui était dans le wagon ? demanda Xavier Warn
-Il y avait trois personnes dont la victime M. Émile Moutin et deux autres passagers : M. Bao Tchong et M. Zahran Baambo. répondit-il
-Vous avez dit Zahran Baambo ? rétorqua-t-elle
-Il a bien dit Za…va…ne …Bobo. Pourquoi ? demanda-t-il
-C’est mon petit copain…
-Très bien, merci de votre coopération M. Leblanc. Nous allons maintenant interroger la victime et les passagers présents dans le wagon. » dit M.Warn en coupant la parole à Mlle Moutin

En interrogeant M. Émile Moutin, Xavier Warn apprit qu’il était comptable, qu’il avait quarante-trois ans et qu’il était marié à une femme se prénommant Violaine.
En questionnant M. Zahran Baambo, le détective apprit qu’il était informaticien et qu’il avait vingt-trois ans.
En briefant M. Bao Tchong (un chinois avec des cheveux noirs coiffés en brosse, une moustache et une barbiche) ils apprirent qu’il était mécanicien, qu’il avait trente-sept ans et que son prénom signifiait léopard (豹).

Ils emmenèrent M. Moutin au commissariat de police ainsi que les suspects (Jean Leblanc, Zahran Baambo et Bao Tchong). Il plaça les personnes soupçonnées de la tentative d’homicide en garde à vue.

Le commissaire Warn est ensuite retourné sur les lieux du crime pour retrouver des indices. Près du fauteuil où été assit Émile, il vit une clé à molette et des taches de sang. Il y avait le sac de M. Moutin sur son siège. Lorsqu’il le fouilla, il y trouva un porte clef avec une figurine de léopard, un paquet de mouchoir, un autre de cigarette, un calepin, des stylos et, dans une pochettes, quelque photos de Bao Tchong avec Violaine Moutin, une autre photo de la figurine de léopard encore quelque autre de Lisa Moutin avec Zahran Baambo et un papier où il était noté « rends moi ma femme ». Il inspecta la portière : elle avait été forcé avec une clé à molette. Lorsqu’il alla voir le moteur, il vit des traces d’incendie : le moteur avait bien pris feu.

Pendant ce temps, Mlle Moutin interrogeait la victime, Émile Moutin, son père. Il lui dit qu’il se souvenait d’un coup à la tête fait avec une clé à mollette. Lorsqu’elle interrogea Bao Tchong, il lui dit qu’il n’avait rien vu parce qu’il dormait. Elle interrogea Jean Leblanc qui lui dit qu’il avait vérifié les tickets, qu’il était retourné conduire le train et qu’il l’a arrêté quand le moteur a pris feu. Et enfin, Zahran Baambo lui dit qu’il lisait un livre.

Lorsque Xavier est rentré, lui et Lisa se consultérent. Ils ont ainsi put trouver le coupable.

 

Et vous, l’avez-vous trouvé ?

 

Le coupable est Bao Tchong. Il y a une clé à mollette, qui peut appertenir à un mécanicien où au conducteur du train pour réparer le moteur. Il y a aussi des taches de sang comme Émile a été frappé à la tête. En voyant le léopard, on peut penser que M. Tchong l’a donné à M. Moutin, comme Bao signifie léopard. Et le mobile de cette tentative de meurtre, c’est que Bao était l’ex-mari de Violaine et qu’elle l’a quitté pour se marier avec Émile.

Bao Tchong fût placé en détention provisoire avant d’aller en cour d’assises. Il y fût jugé pour tentative d’homicide. Le verdict fût dix-huit ans de prison avec sursis, parce qu’il avait déjà un casier judiciaire.

Et voilà une affaire résolu !!!


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